Pour toutes vos activités à SIMONE, pensez au forfait SUPER CHAMEAU !
une adhésion de 500€ / an par personne ou 600 € par famille qui vous donne accès à tout ou presque
Pour toutes vos activités à SIMONE, pensez au forfait SUPER CHAMEAU !
une adhésion de 500€ / an par personne ou 600 € par famille qui vous donne accès à tout ou presque
Pour toutes vos activités à SIMONE, pensez au forfait SUPER CHAMEAU !
une adhésion de 500€ / an par personne ou 600 € par famille qui vous donne accès à tout ou presque
Pour toutes vos activités à SIMONE, pensez au forfait SUPER CHAMEAU !
une adhésion de 500€ / an par personne ou 600 € par famille qui vous donne accès à tout ou presque
face(to face)
création 2018
avec anne-laure lemaire et laurence de sève
mise en scène : anne-laure lemaire
scénographie : béatrice chanfrault
musique : laurence de sève
textes : fragments et entretiens
vidéo & photos : anne-laure lemaire et laurence de sève
co-production : SIMONE & in viivo
visage – paysage –langage
14-18 > 2018
Toujours l’histoire remonte : les obus remontent dans les champs quand les agriculteurs labourent. Dans la boue, une tête de cheval mort.
Partout, des petits animaux sculptés. On dit que Jane Poupelet n’a plus réussi à sculpter de corps humains après avoir fabriqués les masques pour les gueules cassées : elle a sculpté des animaux.
Des objets cabossés, déformés jonchent le sol. Des lambeaux de textes sont suspendus, écriture manuscrite, litanie, monument aux morts éphémère et flottant.
Le dispositif est simple : Sur la table d(es) opération(s) au milieu de la glaise, de l’eau et de la boue, deux femmes sont à l’oeuvre en face à face.
Le texte qu’elles disent est généré de manière aléatoire par un ordinateur parmi une sélection d’une cinquantaine de textes extraits de littérature, poésie, philosophie et livres d’histoire.
Ce texte est projeté derrière les spectateurs (ils ne le voient pas), et interprété par laurence
de sève et anne-laure lemaire en direct.
S’agit-il de réparer l’histoire d’un visage, les vestiges d’un territoire, les coups portés à une langue ?
Si ce n’est pas la mort qui a embarrassé notre monde, est-ce la vie qui nous a posé un problème que
nous n’avons pas voulu regarder en face ? Est-ce notre haine du vivant ? Chantal Chawaf